[JdP] Soirée au Club SFJ

Soirée jeu de plateau au club ce vendredi soir, alors que d’autre continuaient leur campagne de Mordheim ou se lançaient dans la nouvelle saison d’Alkémy, j’ai profité de l’hospitalité de Barbouille pour découvrir Zombicide. Barbouille l’avait reçu depuis une semaine et l’avait déjà éprouvé avec son fils, du coup les règles (pas très compliquées) ont été vite (et bien) expliquées. La première (scénario 1) partie nous a bien montré l’intérêt de la coopération dans ce jeu et nous avons lamentablement échoués. Du coup on en a fait une deuxième (scénario 5) pour se venger et la ce fut un grand succès avec un survivant sur cinq joueurs (Bravo Lucas). Le jeu est bien foutu, oblige à la coordination et la coopération (du moins sur les scénarios auquels j’ai joué). De plus, on sent la pression montée au fur et à mesure de la partie, et dès qu’un joueur passe en orange dans sa barre d’experiance, ça devient vraiement chaud (réactivation des zombies à gogo). Ca reste un jeu simple et très accéssible, laissant de grandes possibilités de nouvelles options de jeu pour les extensions à venirs.

Après ces deux parties Ziombiesque, François G. m’a fait découvrir Quarrior (déjà présenté là), en compagnie de L’Autre François et de Jero. Ces deux derniers étaient tellement entousiaste en parlant de ce jeu que je m’attendais à une bonne surprise ludique. Je ne reviendrais pas sur la présentation du jeu que François G à très bien faite, je parlerais juste de mes impressions. Quarrior est un Dice Bulding, par Dice il faut comprendre aléatoire. Là ou un deck bulding met de l’alléat uniquement dans l’ordre d’arrivée des cartes, Quarrior rajoute un aléat dans le lancement du dé une fois celui-ci tiré dans le sac. Ce double aléat me dérange un peu (je suis plus allemand qu’américain de ce coté la) et je pense que la partie que j’ai faite n’est pas suffisante pour me faire un avis définitif. A part cela et en restant objectif, Quarrior est un bon jeu, simple, fluide, rapide, novateur et amusant.

Pour nous détendre l’esprit, François G. (un jour on se pacssera) m’a fait découvrir Crazy Kick, un jeu de carte appéro rapide et rigolo. Le principe est simple (normal pour un jeu appéro), chacun à un jeu de carte face caché, qu’il va retourner au fur et à mesure pour constituer trois piles. Chacun doit mettre au millieu de la table le joueur appelé par la carte précédante. En effet, chaque carte porte le nom d’un joueur (Paul, Pierre, Kim, Mohamed,…) et le nom du jour à qui il fait la passe (pour son équipe) ou qui lui prend le ballon (pour l’équipe adversse). Le jeu démarre avec le premier qui pose son gardien. La ou c’est encore plus rigolo, c’est qu’on doit annoncer le footballer suivant une fois qu’on l’a trouvé (et allé plus vite que son adverssaire). Dans la précipitation, l’annonce devient vite un hurlement. A deux c’est très drole, à quatre ça doit être mortel. Evidement c’est un jeu où la stratégie n’existe pas, seul la rapidité et un œil de lynx compte.

Enfin, pour finir la soirée, une partie de Summoner Wars, jeu dont j’avais souvent entendu parler et dont j’avais acquis le Master Set il y a peu (et qui sort en français sous peu pour les anglophobes). François G. (encore lui) me servit de cobaye pour cette découverte pour moi (il en avait fait moults parties sur son Ipad, et oui, Summoner Wars existe sur Ipad et est très accéssible). Le jeu est simple, basé sur un deck de cartes propore où deux (ou 4) factions s’affrontes, chacune avec ses spécificités et il faut tuer le « Summoner » adverse. Le « Summoner » peut invoquer des créatures, mais pour cela il doit se constituer une pile de magie (faite avec des énemies tués ou des cartes défaussées de sa main). Le jeu est très intéréssant du fait de l’asimétrie des factions et de la grande accéssibilité des règles. Si on met de coté la laideur des illustations, c’est du tout bon.